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Citoyens de MUS (GARD)

1 février 2014

Redirection vers MUS21

Pour tout savoir sur la politique locale à MUS: redirection vers MUS21

http://mus21.hautetfort.com/

 

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24 février 2010

La poste de MUS fermée le mercredi 24 février par manque de personnel

La poste de MUS est fermée ce mercredi 24 février. Le motif est simplement, que, par manque de personnels notre postière travaille aujourd'hui à la poste de Codognan. Prélude à la fermeture annoncée de notre poste , l'indigence en personnel de l'administration postale pour cause de rendement, fait que la poste sacrifiée est précisément celle de MUS, ce jour.

Après la fermeture de 15 jours cet été, par manque de remplaçant, c'est à présent des petits ajustements de personnels dont est victime notre poste. Des personnes âgées ont, ce matin, trouvé porte close, sans motif, ni préavis. Cela est inadmissible. J'espère que la mairie saura rappeler à l'ordre les cadres de la poste et et les mettre devant leur responsabilité de service public.

Sachant que l'un de nos adjoints a participé  à la votation citoyenne pour le maintien des services public, comme il a déclaré en conseil municipal, il pourra user de son influence auprès de notre mairesse, pour que ce genre d'évènement ne se reproduise plus.

En attendant, vous pouvez vous renseigner auprès de la poste de Milhau à ce numéro : 04 66 74 64 10

Pour mémoire : ce qui s'est passé cet été :

http://mus21.hautetfort.com/archive/2009/08/11/la-poste-de-mus-fermee-temporairement.html

3 novembre 2009

Suite et fin de la façade ouest du village de MUS

La réflexion des murs de pierre du village de MUS

      

La laideur a ceci de supérieur à la beauté qu'elle ne disparaît pas avec le temps.
[Serge Gainsbourg]


    L'on peut s'appeler MUS, être de murs et de pierres, l'on n'est pas forcement de marbre face l'histoire des hommes et à ceux qui m'ont bâti.


    Les coraux de mes clôtures ont connu leurs ancêtres primates.


    Dans les deux mille ans de mon édification, j'ai pu les observer. Je peux affirmer que leurs guerres ne furent rien, pour moi, comparativement aux quarante dernières années de leur paix, et surtout les cinq dernières années. Même leurs guerres de religion imbéciles, et la destruction de leurs sanctuaires, tantôt catholiques, tantôt protestants ne changèrent rien au spectacle que j'offrais au lever du jour et à son coucher, quand le soleil rasant venait caresser mes façades d'un rayon doux et orangé. Les siècles et les millénaires se sont succédé sans que rien ne vienne troubler la sérénité des plaines à mes pieds, longtemps de blé, puis de vignes. Deux mille ans où je n'entendis que le hennissement d'un cheval,l 'aboiement d'un chien, le rire des enfants, le fer d'une roue, et le doux murmure des villageois les soirs d'été après la canicule. La voie ferrée eut le tact de m'épargner et courir à travers vigne ne laissant qu'au vent du sud le soin de me rappeler sa présence.


    J'exhibais fièrement et sans complexe mes deux clochers, face à ma grande sœur voisine Gallargue, elle aussi perchée sur une colline. Les humains qui me peuplaient, m'aimaient à n'en pas douter et ceux qui ne faisaient que passer m'admiraient. Certains, au début du siècle dernier, venaient poser leur chevalet pour me peindre et saisir la beauté que j'offrais.

    Tout cela était avant. Avant que, ce qu'ils ont nommé le moteur à explosion, vienne saigner ma colline, déchirer mon silence, défigurer mon paysage. Durant trente années, qui me parurent des siècles, j'ai vu défiler ces moteurs de plus en plus nombreux, de plus en plus gros, de plus en plus bruyants. Les sabots des chevaux se sont tus, le murmure de la place est devenu presque inaudible. Les moteurs ont envahi mes rues. Les humains ne sont sortis de leur maison que pour aller aux sanctuaires, faire péter des feux d'artifice ou courir après des taureaux, étrangement insensibles à ce saccage. Travailler pour vivre et manger est devenu produire pour consommer.


    Mieux ! Travailler plus pour gagner plus !


    J'ai vu des millions de poids lourds, des milliards de pneus grouiller dans mes entrailles. Parfois un soir d'hivers ou une journée d'automne, quand la folie des éléments surpassait celle des hommes, que des trombes d'eau ou des monceaux de neiges tombaient du ciel, alors, la plaie béante de l'autoroute cessait de mordre et la douce quiétude millénaire reprenait ses droits quelques heures.


    L'on peut être de pierre, nul besoin de cervelle ni de sciences pour comprendre que la  croissance démente de ces moteurs ne pouvaient aller sans la démente décadence de la beauté de notre planète, peut être vers sa destruction.

    J'ai longtemps cru que ceux qui me peuplaient m'aimaient, du moins jusqu'à ces dernières années. Jusque–là, seuls le tumulte incessant de l'autoroute, et la tranchée qui l'avalait meurtrissaient la vie de mes habitants. Ils avaient préservé le paysage, laissant les prés et les vignes se la couler douce à mes pieds. Quelques peintres venaient encore croquer ma plus jolie silhouette sur la face ouest de la colline. Devant la laideur de l'asphalte, j'exhibais mes façades au sommet de ma butte, véritable défit au temps.


    Un doigt d'honneur aux moteurs !


    Deux milles ans que je jaillissais ainsi, village suspendu entre ciel et garrigue, aux yeux du promeneur, qui, venant du village voisin, Aigues Vives, franchissait le petit col qui nous séparait. Il ne fallut qu'une paire d'années pour que l'on construise sur mon ventre et sur mon plus beau profil, ce qu'ils appellent un lotissement. Un amas de murs et de toits sans âmes, flanqué à deux pas de l'autoroute, et qu'ils ont nommé « clos de l'écureuil ». Pauvre bête!


    Il ne faudra que deux nouvelles années pour compléter le massacre et construire un nouvel amas de toits et de façades uniforme à côté de l'écureuil. Comment vont–ils l'appeler ? Le clos du sourd ou celui de l'aveugle ?

    Ainsi, saigné par l'autoroute, absorbé par le bruit et la pollution des moteurs, ce qui restait du village millénaire, son pittoresque, va disparaître à jamais. Le chemin creux de la grande terre, qui me portait jusqu'à la place, sera éventré pour que dégueulent les nouveaux moteurs des nouvelles rues.


   

Combien faudra-t-il d'années pour que je devienne un quartier de la vaste mégapole qui ira de Nîmes à Montpellier en passant par le bois de Minteau?


Aux banques et aux assurances les avenues luxueuse des centres villes vidées de leurs habitants  qui viendront dormir sous mes nouveaux toits . Les lieux de cultes des humains deviendront, faute de fidèles, des logements sociaux. Les jeux du taureau seront interdits par souci de sécurité pour les animaux et le quatorze juillet se fêtera à Nîmes ou à Montpellier. Mes quartiers seront débaptisés, on jouera avec mon nom, certains ont déjà commencé, après l'avenue la Musicienne, il y aura le clos de la Musaraigne, la rue de la Muselière et la place du Musée.


Vraiment, pendant deux mille ans , j'ai cru que les humains qui me peuplaient, m'aimeraient toujours. C'était sans connaître la dernière génération de mussois qui m'administrent.


Ce que la pierre peut-être naïve parfois !

20 septembre 2009

Sur le marché de Calvisson plus de 150 signatures à la pétition contre le projet immobilier du bois de Minteau

10 juillet 2009

Il faut sauver le lapin blanc du bois de Minteau

Film d’animation exceptionnel réalisé par Rencontres Citoyennes grâce à l’œuvre de Ton Roosendaal de la fondation Blender, qui a libéré son œuvre sous licence creativ common by.

         

Signez et faite signer la pétition contre le projet du bois de Minteau. Dans un an il sera trop tard. Par l’ampleur de ce projet, notre cadre de vie sera totalement détruit car l’impact de l’aménagement du bois de Minteau débordera largement sur les communes alentour. Exigez la présence des élus de Vergeze, Mus et Boissière dans l’exécutif du syndicat mixte d’étude et de réalisation de l’aménagement du bois de Minteau .

http://rencontrescitoyennes.free.fr/

Christian MARTIN

         

Une pétition circule contre le projet du bois de Minteau, n’oubliez pas de la signer, il en va de l’avenir de ce petit lapin. Mais aussi du cadre de vie de nos enfants.

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29 mai 2009

1 ere Veillée de l'Art Libre

Samedi 4 Juillet 2009

1ere Veillée de l'Art Libre

à MUS

 

Exposition d'infographies

Stand de livres de INLIBROVERITAS

Musiques Libres

Projection en plein air de films libres précédé d'un débat sur l'art libre, avec quelques auteurs.

 

Un blog est dédié à cette soirée :

 

http://veilleedelartlibre.hautetfort.com/about.html

 

 

Toutes les associations citoyennes sont invitées à exposer leur infos ou vendre leur journaux. Une table sera réservée à cet effet. N'oubliez pas d'apporter une clef USB.

 

L'art libre qu'est-ce ?

 

 

 

Vous connaissiez l'art sacré des temples, l'art rupestre des grottes,l'art marchand du marché de l'art du 20e siècle(marché du disque, marché du multimédia, marché du livre). C'est dans ce marché qu'évolue aujourd'hui l'art, c'est ce marché qui définit l'artiste, l'artiste est tributaire d'une clientèle. Des marchands achètent un manuscrit, une toile, une musique, financent un film et se chargent de le transformer en un objet manufacturé et ou d'en faire la promotion. Le marchand fabrique des livres, des disques, des pellicules, ouvre des galeries et vend . Si le produit ne se vend pas ou ne se vend plus, il disparaît. L'artiste a vendu ses droits sur son livre ,son film, sa musique, sa toile. Il en perçoit un petit pourcentage dérisoire face à la masse de profits que dégage le marché de l'art. Le prix des toiles, des CD,DVD, des places de cinéma est prohibitif pour beaucoup, l'art est une affaire de sous, de gros sous, qui profitent à une poignée d'artistes choisis par quelques marchands, maisons d'édition, major du disque, du cinéma. Le talent se définit par bénéfice réel ou potentiel. Parfois, c'est le marché qui définit le talent comme dans la promotion des artistes de la STARAC ou par la programmation de certaines radios. Étoiles éphémères souvent, mais étoiles tout de même que l'on nous a forcés à écouter par la promo qu'en ont fait les médias souvent sponsorisés par les marchands.

 

    Ce marché de l'art a, certes, révélé, déniché de beaux talents, il fut même nécessaire pour porter à la connaissance du plus grand nombre ces artistes. La littérature avait besoin de livres imprimés, la musique de disque ou de cd, le cinéma d'équipes, de projecteurs, de salles de cinéma, le photographe de labos photos pour développer ses œuvres.

 

    Vous avez remarqué, je viens de parler au passé. Oui, car depuis une vingtaine d'années, et particulièrement, depuis une dizaine d'années une révolution est passée : le numérique.

 

    Pourquoi est–ce une révolution?

 

    Parce que tous les arts que j'ai cités, la littérature,la musique,le cinéma,la photo avaient besoin de supports spécifiques, le livre,le disque vinyle puis les CD et DVD, le papier photo. Or avec le numérique, tous ces arts ont à présent un support unique, mieux, un langage unique: le langage numérique, binaire. Même l'art pictural peut se numériser en devenant l'infographie. Aujourd'hui, un seul support pour tous ces arts, un fichier numérique qui se loge dans une carte, une clef usb ou un disque dur et qui circule par le Net. Nous y reviendrons.

 

    Une deuxième révolution a accompagné cet avènement numérique, c'est la présence dans presque chaque foyer occidental ,d'un microordinateur. Cet outil est capable de faire de la musique, traiter le son, traiter un texte, une image,un film. Il est capable de faire à lui tout seul ce que seuls les marchands pouvaient faire avant, imprimer un livre, projeter des photos et du cinéma,diffuser de la musique, graver vinyle, cd et dvd. Du manuscrit, de la maquette, des rushs vidéo, il peut produire un produit fini. Chaque individu possédant cet outil, peut, s'il en a le goût, et peut–être le talent, créer une œuvre d'art. Mieux, il peut créer lui–même les outils numériques de la création, que sont les logiciels, lui permettant de copier,coller,insérer,modifier les fichiers numériques.

 

    Comme il ne peut y avoir deux révolutions sans trois! Un autre séisme culturel et technique s’est associé aux deux autres, c'est l'internet, le WEB,la toile , on peut l'appeler comme on veut, il définit un réseau destiné à l'échange. L'échange d'information, mais aussi de fichiers numériques en tout genre, texte, son, vidéo , photo, logiciels. Cet échange se fait par courriel, téléchargement de micro à micro, de micro à serveur, tout cela sur toute la planète et à très grande vitesse ,de plus en plus vite, de plus en plus facilement. Ainsi chacun de nous, peut voir, entendre des œuvres d'art, les télécharger, si elles lui plaisent, les commenter et échanger les commentaires, les critiques, par voie de courriel, blog,site, sous forme de fichier texte, photo, ou vidéo. Mais aussi, il peut copier, coller, insérer, texte, son ,vidéo et créer une nouvelle œuvre.

 

    Grâce à ces trois révolutions, nous pouvons tous, en fonction de nos gouts, notre culture, découvrir, dénicher les artistes de la toile, communiquer aux autres nos trouvailles, mais nous pouvons aussi créer et être dénichés par d'autres, promouvoir nous–mêmes nos talents.

 

    Les marchands découvreurs, promoteurs de talents sont potentiellement en concurrence avec tous les internautes. Mieux la poignée d'artistes richissimes découverts par ces marchands peut se trouver aussi en concurrence avec les milliers de talents de la toile.

    J'ai bien dit peuvent, car dans la réalité une parade vieille de plus de deux siècle, depuis que l'art appartient aux marchands, censé protégé les auteurs du vol, du plagiat ,et que l'on appelle droit d'auteurs, copyright, tente de verrouiller la diffusion universelle des œuvres. L'action des copyrights pourrait paraître louable, si elle ne protégeait, de fait, que les marchands et une poignée d'ayant droits anonymes qui profitent d'un aïeul illustre pendant 70 ans en France, 50 ans ailleurs, et plus si le marché, encore lui, l'exige. Je pense à Mickey mouse de notre cher Dysney.

    Ce droit d'auteur se confond avec le dépôt de licence pour les découvertes et inventions qui régulent , par l'argent la diffusion du savoir, de la technologie, et donc du progrès. Les logiciels sont aussi soumis au copyright, et gardent secrets les codes sources de leurs programmes, imposant des systèmes d'exploitation usine à gaz qui ralentissent les micros, nous obligeant d'acheter un nouveau logiciel chaque fois que Windows évolue. Ce système de protection qui paraît d'une logique immuable a subi depuis 15 ans la concurrence de ce que l'on peut appeler son contraire. Peut–être inspiré par Victor Hugo, qui, parlant du livre, disait:

 

    Le livre, comme livre, appartient à l’auteur, mais, comme pensée, il appartient , le mot n’est pas trop vaste , au genre humain. Toutes les intelligences y ont droit. Si l’un des deux droits, le droit de l’écrivain et le droit de l’esprit humain, devait être sacrifié, ce serait, certes, le droit de d'écrivain, car l’intérêt public est notre préoccupation unique, et tous, je le déclare, doivent passer avant nous.

    Victor HUGO (1878) in Discours d’ouverture du congrès

 

    la concurrence est le système d'exploitation informatique LINUX GNU qui pourrait formuler sa philosophie ainsi :

    Le logiciel appartient à l'auteur, mais le code source appartient au genre humain. Toutes les intelligences y ont droit.

    Ainsi, ce système d'exploitation bénéficie d'une licence spécifique GNU GPL( General Public License) ,appelée libre,qui reconnaît à tous, le partage du code source et la possibilité de le modifier tout en offrant à tous, le nouveau code source ainsi transformé. Tous les logiciels fonctionnant sous GBU GPL sont soumis à la même règle de copie ,transformation,partage libre. Ainsi, depuis 15 ans, ce système évolue au point de concurrencer Window. C'est ce système du logiciel libre que nous connaissons tous par Firefox, à présent le meilleur navigateur internet, ou la suite bureautique open Office, concurrente du plus célèbre logiciel commercial Word de Window.

    Bien sur tous les logiciels et le système d'exploitation LINUX GNU sont téléchargeable légalement sur internet, le plus souvent gratuitement, mais pas forcément, car libre ne veut pas dire gratuit (rappelez–vous: le livre, le logiciel appartient à l'auteur, la pensée , le code source appartient à tous, donc je vends mon livre, je vends mon logiciel, mais le fichier numérique appartient à tous) pour les œuvres artistiques la seule restriction est de citer le nom et les coordonnées de l'auteur d'origine.

    Ainsi, dérivées de la licence GNU GPL, les licences libres pour l'art sont nées, définissant l'Art libre et la licence LAL ou COPYLEFT, jeu de mots pour se démarquer du copyright.

 

    D'autres licences plus restrictives comme les Creative Common(CC) peuvent poser des conditions à l'exploitation commerciale et la transformation des œuvres.

 

    Le mouvement du logiciel libre a réussi,on peut le dire aujourd'hui. Il n'y a pas de raison pour que celui de l'art libre ne suive pas, cela paraît inéluctable, même avec une loi comme HADOPI, qui n'a pour but que de sauver l'art marchand.

 

    Cet art marchand est d'un autre age, d'une autre époque, celle d'avant le numérique, cet art ne peut pas s'accommoder de la libre circulation des fichiers qui pourtant est aussi inéluctable. Aucun système répressif ne peut bloquer cette circulation ,ni même la ralentir. Car cela reviendrait à supprimer le principe moteur du web qui est le partage.

 

    Alors, bien sûr , il faut rétribuer la poignée d'artistes qui profitent encore du système marchand, mais cette rétribution doit être équitable et fonction du volume de téléchargement d'une œuvre, et surtout sans mettre en place un système de surveillance , répressif qui n'engendrera qu'une nouvelle délinquance, une de plus! Ces artistes ont assez de notoriété pour vivre de leurs spectacles, je dirai même de leurs économies! Leur célébtité ne les feraient guère souffrir du téléchargement.

    La loi HADOPI est passée, mais rassurez vous : le web regorge d'artistes qui ont choisi, de mettre leurs œuvres sous licence Art Libre ou Creative Common. Alors ne faite pas de téléchargement illégaux, mieux n'achetez plus de cd ou de dvd. des artistes show beez.Écoutez , lisez,visionnez librement et en toute légalité les auteurs encore inconnus du Web, soyez leur producteur, achetez leurs cd ou leurs livres, souvent en auto édition ou auto produit!

 

    Les œuvres que vous allez découvrir dans la 1re veillée de l'art libre sont, pour la plupart, sous licence Art libre, ou Cc by, donc: libre copie, partage,transformation,distribution, respect de la paternité de l'œuvre,reconduction à l'identique de la licence des œuvres dérivées. Les autres sont en CC–nc–nd, donc : libre copie, partage, mais diffusion transformation soumise à autorisation de l'auteur. La licence de chaque œuvre sera toujours précisée. Un livret sera disponible avec le détail de tous les auteurs, que vous lirez, écouterez, visionnerez, pour la 1er veillée de l'art libre. Apportez une clef USB, vous pourrez charger le fichier de toutes les oeuvres diffusées dans la soirées.

 

Christian MARTIN  : contact 04 66 73 70 39   

chriscombat@orange.fr

 

1 mai 2009

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